Dans les années 1970, Ray Dasmann, écologiste senior à l’UICN, avait mis le doigt sur ce qu’il appelait « l’homme d’écosystème », c’est-à-dire l’homme qui dépend d’écosystèmes en fonctionnement pour leur survie. Depuis, les peuples autochtones ont toujours été une priorité dans l’ordre du jour de l’UICN.
Un ensemble de principes, de lignes directrices et d’outils de l’UICN encourage la reconnaissance au niveau national des droits des peuples autochtones et traditionnels concernant les aires protégées.
Lors de sa réunion inaugurale en 1948, l’UICN a désigné le sauvetage des espèces en danger comme objectif principal, et a commencé à mettre en place des instruments pour suivre le statut de la faune et de la flore dans le monde.